La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1437)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1434) -
Après le dédale d'escaliers, de couloirs, nous voici à létage au-dessus, dans une aile du Château
Linconnu me fit traverser les "coulisses" du Château, notamment les Cuisines où s'affairait une foule desclaves nus, mâles et femelles tous ayant un collier autour du cou, dans une salle immense et si richement équipée... Certains portaient une cage de chasteté, certaine avaient les tétons annelés, dautres des chaînettes aux lèvres intimes, ou un plug dans leur anus. Nul ne semblait prêter la moindre attention du fait que l'on trainait un homme nu et tenu en laisse, car ils étaient eux-mêmes dans les mêmes conditions de servilité... Manifestement ceux qui étaient employés ici étaient initiés à des pratiques qui, dans un monde vanille traditionnel eut fait bondir tout individu. A lévidence, nous étions dans "Un Autre Monde", un monde de Domination/soumission où les castes sont clairement définies, de Celle des Supérieurs à celle des esclaves serviles, de ces créatures inférieures, que leur Nature et leur destinée vouent à la plus basse condition, et ces esclaves étaient visiblement pour leur plus grand bonheur ainsi reconnus pour ce qu'ils sont, véritablement...
Car oui, dans cet état de totale dépendance, dans cette condition si avilissante, je me sentais enfin à la seule place qui me convenait. Au plus profond de mon être, je n'avais que gratitude et reconnaissance envers Monsieur Le Marquis qui avait fait de moi Son esclave, Sa chose, qui avait fait de moi ce pour quoi j'étais destiné
Il y avait une intense activité qui animait les Cuisines mais aussi les couloirs et les salles du Château que nous traversions ainsi en cet équipage si spécifique. Cest dailleurs au détour dun long et luxueux couloir à la moquette épaisse, que je vis un esclave mâle nu en levrette, attaché et bien exposé dans une niche murale près dune haute fenêtre.
Je ne pouvais que me douter que l'on s'apprêtait à fêter un Réveillon et cela dans le plus grand faste. Et je ne pouvais faire autrement que de m'interroger sur le rôle que l'on m'ordonnerait d'y tenir, puisque manifestement on m'avait sorti de ma cellule dans un but précis... Je fus ainsi mené dans une salle assez vaste, sans la moindre décoration, mais où avaient été dressées plusieurs petits espaces avec miroirs et tablettes, un peu dans le style des coulisses d'un défilé de mannequins. Je fus mené devant l'un des box et on me fit asseoir sur un tabouret...
Au bout de quelques minutes, une femme vint me rejoindre. Elle avait l'air très strict, sanglée dans un chemisier blanc fermé jusqu'au col, une jupe grise, chignon serrée et lunettes élégantes. Elle portait une mallette. Sans dire le moindre mot, elle se saisit de mon visage, le tournant doucement de droite à gauche tout en le scrutant attentivement, l'observant dans les moindres détails, semblant avec ses mains en prendre la mesure. Puis avec une économie de geste digne des meilleurs professionnels, elle commença à nettoyer et apprêter mon visage.
La femme mobserva un long moment et tout en ne me perdant nullement du regard, elle se mit à me masturber lentement. Javais la tête baissée, nosant croiser son regard insistant que je devinais dominant et fixe. Elle avait un gant de latex et je ne voyais que sa main, et ses doigts gantés, aller et venir sur ma nouille qui se dressait à vue dil. Elle accélérait le mouvement masturbatoire, mais je compris sans même quelle me lordonne que je ne devais pas éjaculer sous peine dune punition qui serait, je nen doute pas, sévèrement infligée. Elle stoppa subitement sa branlette pour venir comprimer mes couilles de chien, en les empoignant dune main ferme, ce qui me fit hurler dun cri fort que je ne pouvais réprimer malgré le mors. Je reçus en retour une magistrale paire de gifles. Puis elle me tourna le dos et se retira comme elle était venue, cest-à-dire sans madresser une seule parole, me laissant là et je demeurai immobile, ma nouille toujours dressée, attendant que l'on vint me dire ce que j'allais devoir faire... Cinq minutes plus tard, c'est linconnu qui se chargea de me faire avancer pour sortir de cette pièce et me guider par un long et capitonné couloir brillamment éclairé de lustres de cristal et richement décoré de tableaux.
Nous nous dirigeâmes vers une large double porte d'où, en approchant, je perçus des bruits de conversations, de tintements. C'était une immense salle de bal au parquet ancien mais parfaitement entretenu et brillant, d'immenses miroirs aux dorures ouvragées garnissant les hauts murs, reflétant l'éclat de plusieurs grands et majestueux lustres de cristal. Dimpressionnantes tentures de velours de couleur bordeaux ornaient les hautes fenêtres boisées et vernies. Ma vision limitée par les illères ne me permettait pas de tout voir, pourtant je compris que Monsieur Le Marquis avait organisé une brillante soirée de Réveillon. Rapidement, je compris que trois castes se côtoyaient ici : D'abord Les membres du Cercle des Supérieurs, Hommes en parfaits smokings, Femmes dans de magnifiques toilettes, en robes de soirée, tous jeunes, élégants, chacun de leurs gestes démontrant leur aisance à se mouvoir et à évoluer dans la plus haute société. La Caste la Plus Haute de Celles et Ceux qui savent qu'ils sont nés pour dominer le monde, obtenir tout ce qu'ils veulent, profiter et jouir de la vie
Evoluant avec discrétion entre Ceux-là, des domestiques en livrée, hommes et femmes, portant plateaux garnis de délicieux canapés et de coupes de champagne ou de cocktails colorés, servis à volonté. Ces domestiques au service étaient manifestement au travail et non asservis... Enfin, se tenant immobiles et disséminés à travers la vaste pièce digne du palais des glaces, de nombreux mâles et femelles nus, tous avec mors et illères, comme moi, attendant docilement que Les Supérieurs décident d'en user et r. Linconnu me plaça en un point de la pièce et jentendis enfin le son de sa voix, autoritaire, froide et assez laconique :
-Tu ne bouges pas, tu attends et tu obéis.
Et il me laissa là. Je n'étais qu'un parmi tant d'autres. Posé tel un objet décoratif, vidant mon esprit afin d'observer au mieux cette immobilité qui m'avait été ordonnée. Dans ma vision restreinte, je voyais les Invités évoluer avec élégance, la plupart d'entre eux n'accordant pas le moindre intérêt aux esclaves ainsi disséminés ici et là, dans l'immobilité parfaite et le silence d'objets sans importance.
La Personne qui explorait ainsi mon corps servile en discutait avec quelqu'un d'autre. Ils commentaient mon corps nu, le grain de peau, la blancheur au niveau de ma taille, quand un doigt vint s'immiscer dans ma raie, plongeant dans l'anus, en éprouvant l'élasticité. Puis, avec le plus grand naturel, le doigt que j'avais senti en moi vint écarter mes lèvres buccales et je le suçais, les deux Dominants poursuivant leur conversation sur la façon dont il pourrait leur être agréable d'utiliser la chose qu'ils examinaient en cet instant, moi... Cette situation inédite pour moi illustrait parfaitement le type de vie qui serait la mienne désormais. Je n'étais qu'une insignifiante créature, sans autre raison d'être que d'appartenir. Quel que soit désormais mon parcours universitaire, les diplômes décrochés, les fonctions qui me seraient accordées dans la société, ce ne seraient que des artifices, mon unique condition naturelle étant d'être l'esclave de Monsieur Le Marquis d'Evans. Ce dernier navait que 20 ans, mais avait déjà acquis les codes parfaitement huilés des Dominants du Cercles des Supérieurs
Jimaginais la qualité des esclaves mâles et femelles présents dans la salle. Je ne doutais pas que tous Les Supérieurs présents avaient les mêmes exigences tant physiques que mentales à l'égard de celles et ceux qu'ils possédaient. Non seulement il fallait être plutôt attrayant physiquement, mais il fallait aussi faire montre de certaines capacités intellectuelles afin de pouvoir être pleinement exploités par Les Maîtres (esses) dans tous les domaines du quotidien.
Soudain, il y eut un peu de vacarme dans un coin de cette vaste salle de bal. L'immobilité imposée m'empêchait d'en savoir plus. Mais je compris qu'un ou une esclave venait de commettre une faute, ayant ainsi non seulement manqué de respect envers la Personne qui en faisait en cet instant usage, mais plus encore envers Le Maître dont elle était la propriété et qui allait se sentir ainsi trahi par une telle faute. Un bref instant, je vis quil sagissait dune esclave femelle passant fugacement à portée de ma vision, traînée par son épaisse chevelure auburn par un Maître visiblement très irrité, suivi d'un autre qui brandissait déjà une cravache de cuir... Ils disparurent de mon étroit champ de vision, mais il y eut comme un mouvement de foule dans leur sillage et le bruit de coups secs qui suivirent ne me laissèrent aucun doute sur ce qui se passait. Toutefois, tandis que le bruit des coups se poursuivait, le groupe qui s'était constitué se répartissait à nouveau un peu partout. Manifestement, le châtiment infligé était suffisamment banal pour ne pas susciter très longtemps l'attention d'un public tellement initié.
Une Supérieure vint soudain se placer devant moi... plaçant un doigt sous mon menton, elle me força à relever les yeux et à découvrir Son Visage. Cétait une toute jeune femme, qui me regardait avec un regard dur et froid. Dans le même temps, je sentis sa main aux ongles longs et durs s'emparer de mes couilles et les presser... les presser longuement, inexorablement... Mon corps tout entier se raidissait sous la pression ainsi imposée à mes parties intimes et j'avais les plus grandes difficultés à demeurer immobile. En plus de la pression, les ongles, tels des griffes, s'enfonçaient dans la chair fragile et je m'appliquais à mordre aussi fort que je pouvais dans le mors qui me bâillonnait afin de ne pas émettre un gémissement qui aurait constitué une faute envers La demoiselle comme envers Le Maître. Javais déjà hurlé tantôt, alors quon mapprêtait et je ne souhaitais surtout pas recommencer.
Plongeant Son Regard dans le mien, la Dominante ne perdait rien de la panique qui peu à peu me gagnait. Je ne doutais pas un instant qu'Elle savait les tourments de mon esprit, peinant de plus en plus à endurer la souffrance qu'Elle m'imposait et au bord de laisser échapper le fautif gémissement qu'Elle voulait obtenir. Je voyais Son Visage triomphant s'illuminer à l'idée de ma déconfiture prochaine. Et je ne doute pas qu'elle lisait en moi ce désespoir de l'esclave qui sait que malgré toute la dévotion qu'il sait devoir, finit par céder et à étaler sa vulnérabilité. La pression se fit plus forte, la griffure plus profonde mais, soudain... cessa... La Demoiselle retira Sa Main et se détourna sans un mot, sans un regard de plus... La tête baissée, je ne pouvais que constater que ma nouille sétait de nouveau dressée suite à ce douloureux traitement. Jen éprouvais donc une surprenante et certaine excitation que je ne contrôlais pas
La soirée ne faisait que commencer...
(A suivre
)
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